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Lorsqu'ils ont accepté un poste à la très conservatrice Faculté Schuyler, Kate Fansler et Reed Arnhearst n'imaginaient pas qu'ils y feraient d'aussi étranges rencontres. A commencer par la responsable du secrétariat qui s'est fait embaucher sous une fausse identité et modèle son existence sur celle de George Smiley, le héros de John Le Carré ! Pourtant, ce qui débute comme un épisode farfelu et romanesque cache en fait un secret poignant. Dans cette communauté universitaire où devraient régner l'intelligence et la tolérance, Kate et Reed ne trouvent que haine et médiocrité.

De mon temps, on disait qu'il suffisait, pour commettre le crime parfait, d'estourbir un quidam en pleine rue et de disparaître dans la cohue. Devant une telle pléthore de suspects, nous commençons à craindre que ce campus ne présente pour l'assassin les mêmes conditions qu'une foule où il se serait évanoui sans laisser de trace. Bref, la mort d'Adams reste à ce jour inexpliquée et nous nous voyons contraints de recourir à vos talents..." C'est en ces termes qu'une sommité de l'administration universitaire confie à Kate Fansler l'enquête sur le meurtre du professeur titulaire de la chaire de culture et de civilisation du Moyen-Orient, dont on a retrouvé le cadavre sous la fenêtre de son bureau - sept étages plus bas. Or, on s'accorde à reconnaître qu'Adams n'était pas homme à faire le grand saut et qu'il ne manquait pas de gens, au sein de l'université comme à l'extérieur, qui n'auraient pas détesté l'aider un peu..."

Née en 1925 dans le New Jersey, Carolyn Hellbrun est ce qu'il est convenu d'appeler une grosse tête. Du moins l'est-elle dans le domaine de la littérature anglo-saxonne et dans le monde universitaire américain où, depuis 1959, elle a fait une carrière des plus brillantes. Avec un tel cursus, on imagine mal Carolyn Hellbrun auprès des reines et des princesses du crime. C'est pourtabt bel et bien le cas puisqu'elle est la créatrice du personnage de Kate Fansler dont les aventures ont débuté en 1964 et qui est, à ce jour, l'héroïne d'une dizaine de polars, tous signés Amanda Cross. Sur l'échiquier du polar américain, les livres Hellbrun-Cross dégagent, il est vrai, un parfum peu banal, tant ils sont à la fois très classiques dans leur construction et très modernes dans ce qu'ils mettent en jeu.

De son vivant déjà, Patrice Umphelby, écrivain et universitaire distinguée, se sentait prédestinée à semer la zizanie. Elle semble bien décidée à persévérer dans l'autre monde. En effet, son " suicide " provoque bien des remous sur un paisible campus de la Nouvelle-Angleterre. La disparue avait beau vouer un culte personnel à la mort, Kate Fansler doute qu'elle ait vraiment mis fin à ses jours. " Cette satanée bonne femme aurait elle-même orchestré son propre meurtre que ça ne serait pas mieux ficelé... Il n'y a nulle part le moindre indice, la moindre preuve... rien ! " On n'a jamais vu plus mauvais point de départ pour une enquête !

Que fait Janet Mandelbaum, professeur de littérature à Harvard, ivre morte dans une baignoire ? Après avoir résolu L'affaire James Joyce, Kate Fansler mène son enquête sur le campus de l'université de Harvard. Mort à Harvard est un livre ironique, délicieux, un puzzle psychologique qui a obtenu le plus grand prix américain de littérature policière, le Nero Wolfe Award.

Parfaitement coupée du monde dans une maison spartiate au fond des bois, l'universitaire Kate Fansler voit un jour avec étonnement arriver son ami Max Reston. La visite incongrue s'accompagne d'une demande tout aussi surprenante : Max veut que Kate l'accompagne sur la côte du Maine, précisément dans la demeure de l'écrivain Cecily Hutchkins qui vient de mourir. Max veut écrire la biographie d'Hutchkins et se dit chargé de mettre de l'ordre dans les papiers de la défunte. Kate va accepter. Mais en contrebas de la maison futuriste de l'écrivain, Kate et Max vont découvrir un improbable cadavre : celui de Geraldin Manson, une des étudiantes de Kate ! L'universitaire fouinera de nouveau dans les cercles littéraires, les bibliothèques, retournera à Oxford, accompagnera son neveu au basket, torturera les apparences du mystère, portera un regard oblique sur Max... et découvrira des choses curieuses, vraiment très curieuses !

New York, début 1970, l'Amérique enlisée dans le conflit vietnamien doit faire face à une crise de société sans précédent : occupation des campus, violence dans les ghettos, émergence de la contre-culture. Kate Fanster, qui vient d'épouser Reed Amhearst, est amenée à enquêter à la Theban, l'école pour jeunes filles de bonne famille où elle a fait ses études secondaires. Une nuit, on retrouve dans les locaux le frère d'une des élèves, blessé à la tête. Puis, nouveau coup de théâtre, le cadavre de sa mère est découvert dans une salle de classe. Elle aurait succombé à une crise cardiaque, mais comment et pourquoi cette femme s'est-elle introduite nuitamment dans l'école ? Y a-t-il un mobile criminel derrière ces mystérieux événements ? Pour le savoir, Kate va devoir fouiller dans de douloureux secrets de famille.

Au cours d'une soirée donnée en l'honneur de Kate Fansler, l'un de ses adversaires au sein de l'université de New York trouve la mort, après avoir avalé deux comprimés d'aspirine. Mort accidentelle ? C'est difficile à croire. Tous les indices accusent le professeur Fansler et ses amis. Ainsi que le poète W.H. Auden dont Kate enseigne l'oeuvre immortelle. Face à ce mystérieux décès, les poèmes d'Auden prennent un sens tout à fait nouveau... Voici une nouvelle enquête de Kate Fansler où se mêlent avec bonheur crime et littérature.

Une femme, Kate Fanster, universitaire professeur de littérature, se retrouve mêlée à une énigme littéraire : la découverte d'une nouvelle que James Joyce aurait écrite pour "Gens de Dublin" et jamais publiée. Un meurtre est commis. Quel plaisir pour Kate, dont la passion secrète est d'être détective. C'est elle qui va mener l'enquête.

Janet Harrison a été assassinée dans le cabinet du psychanalyste Emanuel Bauer, qu'elle voyait depuis 7 semaines. Elle a été poignardée avec un couteau provenant de la cuisine de Bauer. La police peut-elle imaginer un seul instant un psychanalyste capable de tuer une patiente sur son propre divan ? C'est une question que se pose Kate Fansler. C'est une question d'autant plus pertinente que c'est elle qui a adressé Janet, une de ses étudiantes, à son ami Bauer.