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The Superior Spider-Man - Tome 6 - La Nation Bouffon
The Superior Spider-Man - Tome 6 - La Nation Bouffon
French | CBR | 161 pages | 193 MB
The Superior Spider-Man - Tome 6 - La Nation Bouffon
French | CBR | 161 pages | 193 MB
Auteur(s) : Scénario : Zidrou - Dessin : Porcel, Francis
Éditeur : Dargaud
Date(s) de parution : 2015
Nombre de planches : 64
Éditeur : Dargaud
Date(s) de parution : 2015
Nombre de planches : 64
Naître difforme dans un cul-de-basse-fosse n’est pas la meilleure façon de débuter dans la vie ! Et même si l’existence vous concède finalement quelques faveurs, elle sait vous les faire chèrement payer.
Voici de nouveau réunis Zidrou et Porcel. Après un Folies Bergère d’anthologie, le duo investit le Moyen-âge pour un conte à la morale cruelle. Si l’histoire en elle-même s’avère, sur le fond, des plus banales, le ton employé, les mots utilisés, l’ironie distillée, le découpage proposé lui donnent une toute autre dimension. Vous l’aurez compris Bouffon, s’illustre dans la manière et apparaît d’une étonnante modernité, même s’il narre les déboires de tristes hères en des temps où la vie ne tenait qu'à un fil, souvent très tôt rompu. Encore une fois, Zidrou fait preuve d’une lucidité cynique et d’un sadisme consommé, même s’il ne peut toutefois se départir d’une certaine empathie envers les personnages qu’il martyrise. Évitant de juger sans pour autant excuser, il remet chacun à sa place et devant ses contradictions avec une poésie qui atténue la dureté du propos.
Une fois n’est pas coutume, les mots l’emportent sur le trait. Sans démériter, le dessin de Francis Porcel se met au service du script et non l’inverse. Et si les tenants du réalisme historique auraient aimé un graphisme plus... réaliste, le dessinateur ibère sait faire transparaître toute la laideur intérieure d’une belle brochette de nécessiteux ou d’édiles.
Triste récit que celui de ce bouffon, qui au lieu de distraire, ramenait à la vie les femmes en âge de la donner… sans qu’aucune ne songeât, un instant, à l’en remercier !
Voici de nouveau réunis Zidrou et Porcel. Après un Folies Bergère d’anthologie, le duo investit le Moyen-âge pour un conte à la morale cruelle. Si l’histoire en elle-même s’avère, sur le fond, des plus banales, le ton employé, les mots utilisés, l’ironie distillée, le découpage proposé lui donnent une toute autre dimension. Vous l’aurez compris Bouffon, s’illustre dans la manière et apparaît d’une étonnante modernité, même s’il narre les déboires de tristes hères en des temps où la vie ne tenait qu'à un fil, souvent très tôt rompu. Encore une fois, Zidrou fait preuve d’une lucidité cynique et d’un sadisme consommé, même s’il ne peut toutefois se départir d’une certaine empathie envers les personnages qu’il martyrise. Évitant de juger sans pour autant excuser, il remet chacun à sa place et devant ses contradictions avec une poésie qui atténue la dureté du propos.
Une fois n’est pas coutume, les mots l’emportent sur le trait. Sans démériter, le dessin de Francis Porcel se met au service du script et non l’inverse. Et si les tenants du réalisme historique auraient aimé un graphisme plus... réaliste, le dessinateur ibère sait faire transparaître toute la laideur intérieure d’une belle brochette de nécessiteux ou d’édiles.
Triste récit que celui de ce bouffon, qui au lieu de distraire, ramenait à la vie les femmes en âge de la donner… sans qu’aucune ne songeât, un instant, à l’en remercier !
Suite à d'étranges rêves, le Roi d'un pays lointain, conseillé par son Sage et son Bouffon, décide de convoquer le premier Grand Tournoi de la Vérité. Les concurrents sont des athlètes de haut niveau ; leurs disciplines sont l'athéisme et les grandes religions du monde. A la recherche de la Beauté éternelle et de la Sagesse véritable, ils mettront tout en œuvre pour se dépasser et communiquer le meilleur d'eux-mêmes. Mais que se passe-t-il quand un juif, un chrétien, un musulman, un hindou, un bouddhiste et un athée se rencontrent ? Qui sortira vainqueur de cette compétition ? Une fable brillante et pleine d'humour, où les religions sont au cœur d'un récit passionnant.
Triboulet est le plus célèbre bouffon qu'ait connu la cour de France : dans les temps reculés du XVe siècle, il disait leur vérité aux puissants, se moquait ouvertement des courtisans et appelait François Ier " mon cousin ", en toute simplicité.
Fils du peuple, il va vivre un étrange destin qui le propulse de la cour de Louis XII, " le père du peuple ", le souverain qui rêvait de conquérir l'Italie, à celle de François Ier, " le père des Lettres ", le grand monarque de la Renaissance qui en fera son plus proche confident. Dans cette période d'intense création artistique et d'idées nouvelles, il côtoiera Machiavel, Léonard de Vinci, Érasme, Rabelais. Il croisera aussi les plus grands personnages, de Charles Quint à Henry VIII d'Angleterre.
Lire sa vie, c'est découvrir toute l'Europe de l'époque : du conseil d'état aux secrets d'alcôve, rien n'échappe au bouffon des rois.
Sous la plume de Francis Perrin, Triboulet revit dans ce roman à la verve toute rabelaisienne. Du Roi s'amuse de Victor Hugo au Rigoletto de Verdi, il est devenu le symbole même de la liberté de parole et de la folie faite sagesse.
Éditeur : Éditions du Square
Scénariste : Buzzelli, Guido
Dessinateur : Buzzelli, Guido
Couleur : Noir et blanc
Genre : Aventure
Public : Ados/Ad
Paru : 04/1974
Collection : Bouquins Charlie
Edition : One shot
Scénariste : Buzzelli, Guido
Dessinateur : Buzzelli, Guido
Couleur : Noir et blanc
Genre : Aventure
Public : Ados/Ad
Paru : 04/1974
Collection : Bouquins Charlie
Edition : One shot
L'histoire se passe dans un monde de fantaisie, dans lequel les humains se subdivisent en deux castes. Les habitants
de la classe populaire sont désignés par le terme de « ratés », en raison de leur aspect physique ordinaire ou même
difforme. Ils travaillent comme des forçats sous la surveillance de forces militaires.
Les ratés se rendent compte qu'ils sont exploités, mais ils vivent dans la terreur et doivent se taire, sous peine
d'être privés de nourriture. La classe dominante est représentée par les « parfaits », dont la qualité principale
est la beauté physique.
Le personnage principal du l'histoire se nomme Spartak. Sa petite taille le fait appartenir à la classe des ratés,
mais il est devenu bouffon et il vit à ce titre dans le monde des parfaits. Son visage est celui de Buzzelli lui-même.
Spartak est amoureux de Tressette, une jolie jeune fille affectée d'un strabisme qui la rend imparfaite. Son père, le
mystérieux « Grand Martyr », est un aveugle qui porte sur sa tête un vautour parlant, et qui a confié à Spartak la
responsabilité d'organiser une révolution. .
de la classe populaire sont désignés par le terme de « ratés », en raison de leur aspect physique ordinaire ou même
difforme. Ils travaillent comme des forçats sous la surveillance de forces militaires.
Les ratés se rendent compte qu'ils sont exploités, mais ils vivent dans la terreur et doivent se taire, sous peine
d'être privés de nourriture. La classe dominante est représentée par les « parfaits », dont la qualité principale
est la beauté physique.
Le personnage principal du l'histoire se nomme Spartak. Sa petite taille le fait appartenir à la classe des ratés,
mais il est devenu bouffon et il vit à ce titre dans le monde des parfaits. Son visage est celui de Buzzelli lui-même.
Spartak est amoureux de Tressette, une jolie jeune fille affectée d'un strabisme qui la rend imparfaite. Son père, le
mystérieux « Grand Martyr », est un aveugle qui porte sur sa tête un vautour parlant, et qui a confié à Spartak la
responsabilité d'organiser une révolution. .
Éditeur(s) : Glénat
Auteurs : Le Gouefflec et Balez
Date : 2011
L'édifiante histoire vraie d'un chanteur d'avant-guerre.
Vedette de la chanson des années 30 et 40, le Chanteur sans nom, alias Roland Avellis, chantait masqué d'un loup sur le visage. Ami de Charles Aznavour, bouffon et comptable d'Édith Piaf, toxicomane notoire, cleptomane débonnaire et attachant, le Chanteur sans Nom eut 1000 vies..."Outre l'histoire incroyable d'un homme qui traversa son époque avec flamboyance aux côtés des plus grands, Le Chanteur sans nom est une fable sur la mort et le sentiment d'inachevé. Tout l'album a été fait sous la bénédiction et avec la documentation de la propre fille du Chanteur ! Une magnifique collaboration bouleversante d'émotion, par les auteurs de Topless.
Tancrède Turlupin était un enfant trouvé. Par un froid matin d'hiver, on l'avait découvert, âgé de deux ans, sur les marches de l'église du couvent des Trinitaires, et il avait été adopté quelques jours plus tard par un vieux vannier nommé Daniel Turlupin. (...) Lorsqu'il eut seize ans, il se trouva des gens qui lui enseignèrent l'art des perruques et des barbiers. C'était un rêveur plein de bizarreries. Contrairement à la coutume de l'époque, il dédaignait de porter une perruque et sortait toujours sans bonnet dans la rue. " Leo Perutz. Dans la France de Richelieu, agitée par les luttes des clans de la noblesse, le destin tragique de Turlupin, le perruquier bouffon.
Mené à la manière d'un roman feuilleton, avec rebondissements incessants, Turlupin combine le picaresque et le burlesque, la fantaisie historique et le suspense, sans délaisser pour autant ce qui fait la force et la singularité de l'oeuvre littéraire de Perutz : la méditation sur les sens et non-sens de l'histoire.
Pour la toute première fois en France, un ouvrage ose analyser sans fausse pudeur un phénomène littéraire qui nous vient d'Amérique : le Gore. révélé au public français en avril 1985 par Daniel Riche et les Editions du Fleuve Noir, cette littérature de l'innomable bénéficie aujourd'hui d'un lectorat sans cesse croissant. De même qu'elle a su séduire bon nombre d'écrivains de chez nous, puisqu'on peut maintenant parler d'une véritable école française du Gore. A coups d'entretiens-choc, de nouvelles inédites, de réflexions sur le genre, ce livre unique et référentiel, qui se clôt par un guide commenté des 62 Gore déjà parus au Fleuve Noir, vous propose un périple dans les contrées de l'atroce et de l'immonde, du dérisoire et du bouffon. Son titre : « Le bel effet Gore » !
Jean-Philippe Mochon, né en 1956, rédacteur à l'Echo des Savanes. Il fut pendant trois ans, directeur de l'Alliance Française de San Rafael (Veracruz) au Mexique. Il vient d'achever son premier roman Gore et prépare un ouvrage sur le polar français.
«Je suis devenu bouffon. C'était mon ultime demande adressée aux hommes. Extérieurement, le sourire ne me quittait pas ; intérieurement, en revanche, c'était le désespoir.» Ainsi se présente Yôzô, né dans une famille riche du nord du Japon, qui veut être peintre, abandonne ses études au lycée de Tôkyô pour travailler dans des ateliers, mais s'initie plus vite au saké et aux filles qu'au dessin et à la peinture. D'amours malheureuses en amours malheureuses, après n'avoir été qu'un médiocre caricaturiste de revues de second ordre, il échoue à vingt-sept ans, malade, tel un vieillard, dans une vieille chaumière, irréparable d'où il rédige l'histoire de sa vie, «vécue dans la honte», et alors qu'il ne connaît plus désormais ni le bonheur ni le malheur.
Qui sont les Plouffe ? Une famille du peuple québécois, famille qui abonde en personnages colorés, depuis Théophile, le chef, typographe de l'Action chrétienne et ancien champion cycliste, jusqu'au romantique Ovide, en passant par Napoléon et Guillaume, tous deux sportifs comme leur père. Leurs démêlés donnent lieu à de multiples épisodes, souvent bouffons, tendres parfois, et composent une peinture fidèle de la vie canadienne dans les années quarante. Ce roman plein de bonne humeur, paru en 1948, a eu une belle carrière. Traduit en anglais, connu à travers le monde, il a inspiré une série d'émissions dramatiques que les réseaux français et anglais de Radio-Canada diffusèrent pendant six années consécutives. La popularité de ces émissions est restée légendaire.