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Desperados Housewives



Desperados Housewives
French | CBR | 50 pages | 24 MB

Les Minettos - Tome 1 - Desperadoes



Les Minettos - Tome 1 - Desperadoes
French | CBR | 67 pages | 16.9 MB

Éditeur(s) : Soleil 1998
Auteurs : Marazano et Cassini

Dans leur petit village de tierras Calientes, Martirio et ses deux frères se sont toujours détestés. Mais lorsque leur jeune soeur Amélia, coupable d'infidélité envers son fiancé, accuse un responsable gouvernemental de l'avoir violée, les trois frères s'unissent pour châtier le coupable ...
Ce sont les choeurs des Péons mexicains qui commandent à Martirio de venger l'injustice quotidienne dont ils sont les victimes ! C'est le bras vengeur du seigneur qui guide Augusto ! Miguel, le plus jeune, désire seulement venger l'honneur de la famille ... Cet événement marquera le départ de l'alliance des trois frères et de leur future carrière de Desperados, rassemblés autour des seules valeurs qui les lient encore : la tequila, la famille et le goût de tuer !

Jon Roberts naît en 1948 au coeur du Bronx, dans une famille de la mafia new-yorkaise, les Gambino. À 7 ans, il assiste à un assassinat commis par son père. Ce jour-là, il décide de suivre la même voie, celle du crime organisé. Après un passage au Vietnam, il connaît une ascension fulgurante au sein de la mafia : racket, trafic de cocaïne pour le compte du cartel de Medellín, meurtres. C'est une effrayante épopée de réussite criminelle qu'il bâtit dans les années 1970 et 1980. Roberts est enfin arrêté en Colombie mais réussit à s'évader. Rattrapé par la police américaine, il accepte de coopérer avec la justice. Evan Wright est un journaliste et écrivain américain reconnu.

Au cœur de la révolution sandiniste, l'épopée tragi-comique de deux divorcés contraints de partir à la recherche de leur fils disparu en Amérique latine. Le chef-d'œuvre d'un des chefs de file de la jeune fiction irlandaise.

De ses pérégrinations lointaines, Jijé nous adresse une biographie exceptionnelle, "Baden Powell", un grand moment de la BD. L'équipe européenne s'affermit et prend doucement le dessus sur les reprises américaines. Après le combat contre le Robot et la protection des plans de celui-ci, Franquin propose d'innombrables gosses bien sympa (des ADS !) dans "Spirou sur le ring". Charlier et Hubinon en sont à "La Revanche des fils du ciel". Lucky Luke chevauche dans "Rodéo" [avec une apparition de Franquin dans la planche du n° 508] et "Desperado-City".

"Superman" est remplacé par une série anglaise, "Les Aventures de Sam", et l'on propose pour un temps deux séries US de Frank Godwin : "Jo Lumière" et "La Patrouille des Aigles". Sont également présents "Valhardi" (Paape), "Blondin et Cirage" (Hubinon), "L'Epervier bleu", "Red Ryder" et "Tarzan". Au 527, "Tif et Tondu", présents depuis 1938, se terminent. Le graphisme de Dineur n'a guère progressé et son scénario souffre bien souvent de l'improvisation avec laquelle son auteur le mène. Des tractations s'ouvrent pour que ces personnages soient rachetés par les Editions Dupuis et ranimés avec un graphisme nouveau...

(Note : il me semble que la planche de "Tarzan" publiée dans le n°531 a fortement influencé Gotlib un quart de siècle plus tard...)

"Jim Harrison adore mettre en scène des personnages un peu fêlés, des tricksters qui vont squatter les bois du Michigan pour fuir le tintamarre de l'Amérique urbaine. Parmi eux, un drôle de loustic nommé Chien Brun, dont l'auteur des Légendes d'automne a fait son héros fétiche. [...] Les lecteurs de Julip et de La Femme aux lucioles connaissent bien Chien Brun, le desperado du Far West. On le retrouve dans le premier des trois récits rassemblés dans En route vers l'Ouest. Cette fois, Chien Brun a la queue basse et l'âme triste : il a perdu sa peau d'ours, la seule chose à laquelle il tienne... Il va donc partir à sa recherche, une odyssée hilarante qui le conduira chez les nababs, sous le ciel plaqué or de Hollywood, où l'attend un autre allumé de son espèce : Bob Duluth, un scénariste foutraque qui exhibe une bedaine fellinienne, carbure au puligny-montrachet et initie notre traîne-savates à ce théâtre de vanités qu'est Los Angeles. [...] À ces confessions de son alter ego, " Big Jim " a ajouté deux autres novellas où il enfonce le clou de ses obsessions : dépouiller, larguer les amarres. Rendez-vous du côté du lac Supérieur, puis sur les ramblas de Barcelone en compagnie de personnages en rupture de ban, des vagabonds qui, de l'ironie et du détachement, ont fait un art de vivre. Leur fréquentation est hautement recommandée." André Clavel

Considérant N'Guyen Van Loc, à la place qui est aujourd'hui la sienne, une étrange question s'impose à mon esprit : cet homme hors du commun, cet ardent défenseur de la justice, prêt à tous les sacrifices pour la servir, ce fonctionnaire qui a consacré le meilleur de sa vie à la Police Nationale, est-il vraiment un flic ? Les pages qui suivent y répondront en partie.
Son témoignage intéresse directement les événements survenus au cours des dernières décennies dans le monde du grand banditisme et celui de la police, apportant à leur propos des aperçus, des confidences ou des documents nouveaux.
Ni casse-cou, ni desperado, le chef du GIPN, celui qu'avec respect ses gars appellent « le patron », est plutôt l'avatar contemporain du samouraï rompu à toutes les formes de combat, rapide et précis, efficace.
Il a toujours accompli son devoir sans trembler, ignorant la peur face à la mort.
Dans cet ouvrage, il raconte simplement sa vie. Il ne règle pas ses comptes, ce n'est pas dans sa manière. Il laisse parler les faits. Au lecteur d'apprécier ».

Ils ont été pris au piège de ce port sordide du littoral sud-américain, dans un décor de fin du monde. Pour ces vagabonds des tropiques, aventuriers faméliques, criminels, il ne reste plus qu'à mourir sur place ou récolter quelques dollars pour fuir cet enfer. Quitte à y laisser leur peau, un Français et trois autres desperados acceptent une mission suicide : convoyer, sur des pistes impraticables, un camion hors d'usage chargé de nitroglycérine. Un camion qui prend des allures de destin. Commence alors une épopée de l'angoisse pure et de l'absurde...

"Jim Harrison adore mettre en scène des personnages un peu fêlés, des tricksters qui vont squatter les bois du Michigan pour fuir le tintamarre de l'Amérique urbaine. Parmi eux, un drôle de loustic nommé Chien Brun, dont l'auteur des Légendes d'automne a fait son héros fétiche. [...] Les lecteurs de Julip et de La Femme aux lucioles connaissent bien Chien Brun, le desperado du Far West. On le retrouve dans le premier des trois récits rassemblés dans En route vers l'Ouest. Cette fois, Chien Brun a la queue basse et l'âme triste : il a perdu sa peau d'ours, la seule chose à laquelle il tienne... Il va donc partir à sa recherche, une odyssée hilarante qui le conduira chez les nababs, sous le ciel plaqué or de Hollywood, où l'attend un autre allumé de son espèce : Bob Duluth, un scénariste foutraque qui exhibe une bedaine fellinienne, carbure au puligny-montrachet et initie notre traîne-savates à ce théâtre de vanités qu'est Los Angeles. [...] À ces confessions de son alter ego, " Big Jim " a ajouté deux autres novellas où il enfonce le clou de ses obsessions : dépouiller, larguer les amarres. Rendez-vous du côté du lac Supérieur, puis sur les ramblas de Barcelone en compagnie de personnages en rupture de ban, des vagabonds qui, de l'ironie et du détachement, ont fait un art de vivre. Leur fréquentation est hautement recommandée." André Clavel, L'Express