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Sangre - Tome 1 - Sangre la Survivante
Sangre - Tome 1 - Sangre la Survivante
French | CBR | 58 pages | 28 MB
Sangre - Tome 1 - Sangre la Survivante
French | CBR | 58 pages | 28 MB
La survivante - Complet
La survivante - 4 Tomes
Scénario & Dessin : Paul Gillon | Science-fiction | PDF | French | 107MB
La survivante - 4 Tomes
Scénario & Dessin : Paul Gillon | Science-fiction | PDF | French | 107MB
Alexianne trouve refuge sur une île après avoir passé plus d'un an parmi les camés, des monstres sanguinaires qui ont chassé et tué la quasi-totalité de l'espèce humaine. Sur l'île elle trouvera sécurité, espoir et amour. Mais les camés sont-ils seulement des monstres sans but ? Pourquoi l'un d'eux l'a-t-il suivi dans sa traversée de la France sans jamais l'agresser ? L'île et Enzo pourront-ils la protéger du funeste destin qui l'attend ?
Il a suffi d'une fois. Une seule mauvaise décision, partir, suivre un homme à Paris. Moe n'avait que vingt ans. Six ans après, hagarde, épuisée, avec pour unique trésor un nourrisson qui l'accroche à la vie, elle est amenée de force dans un centre d'accueil pour déshérités, surnommé "la Casse". La Casse, c'est une ville de miséreux logés dans des carcasses de voitures brisées et posées sur cales, des rues entières bordées d'automobiles embouties. Chaque épave est attribuée à une personne. Pour Moe, ce sera une 306 grise. Plus de sièges arrière, deux couvertures, et voilà leur logement, à elle et au petit. Un désespoir. Et puis, au milieu de l'effondrement de sa vie, un coup de chance, enfin : dans sa ruelle, cinq femmes s'épaulent pour affronter ensemble la noirceur du quartier. Elles vont adopter Moe et son fils. Il y a là Ada, la vieille, puissante parce qu'elle sait les secrets des herbes, Jaja la guerrière, Poule la survivante, Marie-Thé la douce, et Nini, celle qui veut quand même être jolie et danser. Leur force, c'est leur cohésion, leur entraide, leur lucidité. Si une seule y croit encore, alors il leur reste à toutes une chance de s'en sortir. Mais à quel prix ?
Le matin du 11 février 2008, Raymond Smith, le mari de Joyce Carol Oates, s'est réveillé avec un mauvais rhume.
Il respire mal et son épouse décide de l'emmener aux urgences où l'on diagnostique une pneumonie sans gravité.
Pour plus de sûreté, on le garde en observation.
Une semaine plus tard, au moment même où il devait rentrer chez lui, Raymond meurt d'une violente et soudaine infection nosocomiale.
Sans avertissement ni préparation d'aucune sorte, Joyce est soudain confrontée à la terrible réalité du veuvage.
Au vide. À l'absence sans merci.
J'ai réussi à rester en vie est la chronique du combat d'une femme pour tenter de remonter de ce puits sans fond.
De poursuivre une existence amputée du partenariat qui l'a soutenue et définie pendant près d'un demi-siècle.
En proie à l'angoisse de la perte, à la désorientation de la survivante cernée par un cauchemar de démarches administratives et les absurdités pathétiques du commerce du deuil, Oates décrit l'innommable expérience du chagrin, dont elle ne peut s'extraire qu'à grand peine, de temps à autre, en se tournant vers ses amis.
Avec sa lucidité coutumière, parfois sous-tendue d'un humour noir irrésistible, elle nous offre à travers ce livre, qui ne ressemble à rien de ce qu'elle a écrit jusqu'ici, non seulement une émouvante histoire d'amour mais aussi le portrait d'une Joyce Carol Smith inconnue et formidablement attachante.
1956.
Dans le Viêtnam de l'après-guerre, d'où la France a été bannie, quelle peut encore être la place des Français qui, pendant deux ou trois générations, ont ?uvré pour la prospérité d'un pays devenu leur seconde patrie ? Pour Catherine Mareuil, la survivante, emportée sur les routes de l'exil, il n'y aura de repos que dans l'espérance du retour. Pour son petit-fils Henri, cet espoir prendra la forme d'une décision : il sera, de nouveau, " le Maître de Bao Tan ".
Y parviendra-t-il ? Et sauront-ils l'aider, ceux qui, au fil des années, ont vu se bâtir et prospérer le domaine ? Les lecteurs qui se sont passionnés pour les deux premiers tomes de cette monumentale saga retrouveront avec émotions les personnages auxquels ils se sont attachés : Lee-Aurore et sa fille Diane, Renaud de La Potteraye, l'aviateur casse-cou, Sylvie Mareuil, son mari Denis Lam Than et surtout leur fils Matthieu qui, sans plier, défendra l'héritage de sa famille, ce domaine de Bao tan sur lequel planera, jusqu'à la fin des temps, l'ombre de ceux qui l'on bâti.
Ce troisième et dernier tome couvre la guerre américaine au Viêtnam et se termine lors de la chute de Saïgon en 1975.
Quand Violet et Finch se rencontrent, ils sont au bord du vide, en haut du clocher du lycée, décidés à en finir avec la vie. Finch est la "bête curieuse" de l'école. Il oscille entre les périodes d'accablement, dominées par des idées morbides et les phases "d'éveil" où il déborde d'énergie. De son côté, Violet avait tout pour elle.
Mais neuf mois plus tôt, sa s�ur adorée est morte dans un accident de voiture. La survivante a perdu pied, s'est isolée et s'est laissée submerger par la culpabilité. Pour Violet et Finch, c'est le début d'une histoire d'amour bouleversante : l'histoire d'une fille qui réapprend à vivre avec un garçon qui veut mourir.
Dans le Viêtnam de l'après-guerre, d'où la France a été bannie, quelle peut encore être la place de ces Français qui, pendant deux ou trois générations, ont œuvré pour la prospérité d'un pays devenu leur seconde patrie ? Pour Catherine Mareuil, la survivante, emportée sur les routes de l'exil, il n'y aura de repos que dans l'espérance du retour. Pour son petit-fils Henri, cet espoir prendra la forme d'une décision : il sera, de nouveau, " le maître de Bao Tan ". Y parviendra-t-il ? Et sauront-ils l'aider, ceux qui, au fil des années, ont vu se bâtir et prospérer le domaine ? Les lecteurs qui se sont passionnés pour les deux premiers tomes de cette monumentale saga retrouveront avec émotion les personnages auxquels ils se sont attachés : Lee-Aurore et sa fille Diane, Renaud de la Potteraye, l'aviateur casse-cou, Sylvie Mareuil, son mari Denis Lam Than et surtout leur fils Matthieu qui, sans plier, défendra l'héritage de sa famille, ce domaine de Bao Tan sur lequel planera, jusqu'à la fin des temps, l'ombre de ceux qui l'ont bâti.
Joyce Carol Oates - J'ai réussi à rester en vie
Le matin du 11 février 2008, Raymond Smith, le mari de Joyce Carol Oates, s'est réveillé avec un mauvais rhume.
Il respire mal et son épouse décide de l'emmener aux urgences où l'on diagnostique une pneumonie sans gravité.
Pour plus de sûreté, on le garde en observation.
Une semaine plus tard, au moment même où il devait rentrer chez lui, Raymond meurt d'une violente et soudaine infection nosocomiale.
Sans avertissement ni préparation d'aucune sorte, Joyce est soudain confrontée à la terrible réalité du veuvage.
Au vide. À l'absence sans merci.
J'ai réussi à rester en vie est la chronique du combat d'une femme pour tenter de remonter de ce puits sans fond.
De poursuivre une existence amputée du partenariat qui l'a soutenue et définie pendant près d'un demi-siècle.
En proie à l'angoisse de la perte, à la désorientation de la survivante cernée par un cauchemar de démarches administratives et les absurdités pathétiques du commerce du deuil, Oates décrit l'innommable expérience du chagrin, dont elle ne peut s'extraire qu'à grand peine, de temps à autre, en se tournant vers ses amis.
Avec sa lucidité coutumière, parfois sous-tendue d'un humour noir irrésistible, elle nous offre à travers ce livre, qui ne ressemble à rien de ce qu'elle a écrit jusqu'ici, non seulement une émouvante histoire d'amour mais aussi le portrait d'une Joyce Carol Smith inconnue et formidablement attachante.
Auteur : Joyce Carol Oates
Parution : 6 octobre 2011
Editeur : Philippe Rey
Genre : Témoignage autobiographique
Nombre de pages : 480
Le matin du 11 février 2008, Raymond Smith, le mari de Joyce Carol Oates, s'est réveillé avec un mauvais rhume.
Il respire mal et son épouse décide de l'emmener aux urgences où l'on diagnostique une pneumonie sans gravité.
Pour plus de sûreté, on le garde en observation.
Une semaine plus tard, au moment même où il devait rentrer chez lui, Raymond meurt d'une violente et soudaine infection nosocomiale.
Sans avertissement ni préparation d'aucune sorte, Joyce est soudain confrontée à la terrible réalité du veuvage.
Au vide. À l'absence sans merci.
J'ai réussi à rester en vie est la chronique du combat d'une femme pour tenter de remonter de ce puits sans fond.
De poursuivre une existence amputée du partenariat qui l'a soutenue et définie pendant près d'un demi-siècle.
En proie à l'angoisse de la perte, à la désorientation de la survivante cernée par un cauchemar de démarches administratives et les absurdités pathétiques du commerce du deuil, Oates décrit l'innommable expérience du chagrin, dont elle ne peut s'extraire qu'à grand peine, de temps à autre, en se tournant vers ses amis.
Avec sa lucidité coutumière, parfois sous-tendue d'un humour noir irrésistible, elle nous offre à travers ce livre, qui ne ressemble à rien de ce qu'elle a écrit jusqu'ici, non seulement une émouvante histoire d'amour mais aussi le portrait d'une Joyce Carol Smith inconnue et formidablement attachante.