Telecharger Mort sur la Tamise Gratuit
Rebecca Meredith est aussi championne d'aviron. Pour être sélectionnée aux jeux Olympiques, elle s'entraîne souvent seule sur la Tamise, parfois la nuit. Quand on découvre son cadavre flottant à la dérive, la thèse de la noyade accidentelle paraît peu probable. Menée par Duncan Kincaid et Gemma James, l'enquête se resserre vite autour de trois suspects : l'ancien mari de Rebecca, un membre de l'équipe de sauvetage qui a repêché le corps et un officier de police que Rebecca accusait de viol. Pressés par Scotland Yard de résoudre l'affaire sans compromettre l'honneur de la police, Duncan et Gemma se retrouvent au cœur d'un scandale qui pourrait leur coûter leur carrière et peut-être aussi leur vie... Maître du suspense psychologique, Deborah Crombie maintient le lecteur sur le fil du rasoir, dans une intrigue aussi subtile que complexe.
Morts Sous la Tamise
Morts Sous la Tamise
French | CBR | 59 pages | 113 MB
Morts Sous la Tamise
French | CBR | 59 pages | 113 MB
Londres, 1856. En cette époque de progrès, l'Empire britannique est en pleine expansion et le canal de Suez est en voie d'achèvement. Beaucoup de gens ont tout à gagner, mais aussi à perdre, dans ce monde en plein changement.
Suite à l'explosion d'un bateau de plaisance sur la Tamise, qui a causé la perte de nombreuses vies, un égyptien est rapidement condamné à la pendaison. Mais William Monk, chef de la police fluviale, découvre que certaines preuves ont été contrefaites.
A mesure que Monk et sa femme Hester se plongent dans cette enquête, ils commencent à douter de la culpabilité du condamné. Et si la Justice elle-même a été corrompue, dénoncer le vrai coupable peut s'avérer une idée imprudente.
Depuis des siècles les livres sont le legs des générations disparues - le don que nous font les morts pour nous aider à vivre. Dans notre culture, vivre sans les livres est donc une privation, un tourment qu'on ne peut comparer à rien. Sans les livres, toute vie est une vie ordinaire. Ne pas avoir l'expérience de la littérature n'empêche ni de connaître ni de savoir, ni même d'être " cultivé " : il manque seulement à la vie vécue d'être une vie examinée.
Car les Lettres, c'est notre langage métamorphosé ; ce sont nos mots : et voici que, dans le colloque singulier du livre et de son lecteur, s'ouvrent l'expérience élargie, et la pensée, et le rêve, et la possibilité d'être soi-même, véritablement, dans la communauté partagée. La pratique des livres n'est donc pas, dans notre vie, la part du rêve, un luxe gratuit, un loisir supérieur ou une marque de distinction.
Et les intellectuels se trompent gravement lorsqu'ils s'emploient à en dénoncer l'élitisme au lieu de faire que s'ouvre au plus grand nombre le règne émancipateur de la pensée dans les livres. D.S.
Londres, 1856. En cette époque de progrès, l'Empire britannique est en pleine expansion et le canal de Suez est en voie d'achèvement. Beaucoup de gens ont tout à gagner, mais aussi à perdre, dans ce monde en plein changement.
Suite à l'explosion d'un bateau de plaisance sur la Tamise, qui a causé la perte de nombreuses vies, un égyptien est rapidement condamné à la pendaison. Mais William Monk, chef de la police fluviale, découvre que certaines preuves ont été contrefaites.
A mesure que Monk et sa femme Hester se plongent dans cette enquête, ils commencent à douter de la culpabilité du condamné. Et si la Justice elle-même a été corrompue, dénoncer le vrai coupable peut s'avérer une idée imprudente.
I.R.S Tome 15 Plus-value sur la mort
I.R.S Tome 15 Plus-value sur la mort
French | CBR | 26 pages | 26.1 MB
I.R.S Tome 15 Plus-value sur la mort
French | CBR | 26 pages | 26.1 MB
Séduit par la troublante Phyllis Dietrichson, l'agent d'assurance Walter Neff conspire avec elle le meurtre de son mari après lui avoir fait signer une police prévoyant une indemnité pharaonique en cas de mort accidentelle. Évidemment, la compagnie d'assurance va suspecter la fraude, mais Walter et Phyllis sont intelligents, déterminés et totalement sans scrupules. Le crime parfait existe-t-il ? Peut-on vraiment échapper à une vie rangée pour éprouver le grand frisson aux côtés d'une femme fatale ?
Un roman qui fit scandale avant d'être à l'origine de l'un des plus grands films noirs de tous les temps.
Akiyuki Nosaka - La Vigne des morts sur le col des dieux décharnés
Voici deux modèles de l art de la narration selon Nosaka, où l érotisme célèbre les noces du merveilleux et de la mort. Le récit-titre nous raconte une saga traversée par l histoire du siècle : la grandeur et la décadence d une famille régnant entre mer et montagne dans l île de Kyûshû. Cela commence le plus innocemment du monde quand la fille de la famille, follement éprise des fleurs de la vigne des morts qui pousse sur les tombes, entraîne, avec sa propre fille, le village dans une orgie incestueuse.
Dans la nuit des décombres, la petite marchande d allumettes du second récit vend la flamme éphémère d une allumettes frottée sous sa robe, en rêvant secrètement que étincelle de rêve , parmi ses clients-voyageurs, surgira bientôt pour l étreindre le père chéri qu elle n a jamais connu.
Deux textes bouleversants, qui possèdent une beauté poétique visionnaire.
En février 2006, Ilan Halimi est tué après 24 jours de séquestration et de tortures. Sa mère revient sur ces 24 jours, racontant l’attente et le désespoir au rythme des messages des bourreaux, de l’impuissance de la police, des erreurs et du drame intime vécu en raison de l’atrocité de l’assassinat et de son caractère antisémite revendiqué.
Dernier opus de la saga familiale commencée avec Les Champs d'honneur, ce texte se présente comme un dialogue avec la mère, disparue sans avoir pu lire les pages qui allaient enfin la concerner. Le père, le grand-père, la grand-mère avaient tous trouvé une place dans le panthéon du petit Jean, qui les célébrait chacun leur tour. Mais la mère, elle, était restée un peu exclue des oeuvres, en retrait du grand Joseph d'abord, puis des autres morts. Le bon fils avait donc voulu lui rendre sa place, en chargeant l'écrivain de lui donner, enfin, la vedette : son prochain livre serait le livre de la mère. Mais ironie du sort, elle se déroba à cet hommage en mourant à son tour, comme si Rouaud ne pouvait évoquer que ses morts, et jamais ses vivants. Alors, il décida de la faire parler coûte que coûte, en imaginant les mots qu'ils ne s'étaient pas dits, et qu'il aurait voulu avoir le temps, le courage, et surtout la tendresse de partager avec elle. Le résultat est étonnant de force et d'évidence.