Telecharger Quand vient la nuit Gratuit
![]() |
Rachel Rising - Tome 5 - Quand Vient La Nuit
Rachel Rising - Tome 5 - Quand Vient La Nuit
French | CBR | 130 pages | 131 MB


Rachel Rising - Tome 5 - Quand Vient La Nuit
French | CBR | 130 pages | 131 MB

Après Mystic River, Dennis Lehane revient à sa ville fétiche avec Quand vient la nuit. Une formidable histoire de crime, de rédemption et d'amour. Dans l'argot des bas-fonds de Boston, un "relais" est un bar où transite l'argent de la pègre. Bob Saginowski, barman renfermé et solitaire, se retrouve mêlé à un vol qui tourne mal dans le bar de son cousin Marv. Le voilà pris au piège d'une histoire dont les racines plongent dans le passé d'un quartier où chacun, famille, amis ou ennemis, cherche à survivre. Quel qu'en soit le prix.
Star du roman noir américain, primé, traduit dans de nombreuses langues, Lehane est le créateur de la série des détectives Kenzie et Gennaro. Déjà trois de ses romans ont été adaptés au cinéma (Gone baby gone, Mystic River et Shutter Island), et seront bientôt suivis par Ils vivent la nuit, le prochain film de Ben Affleck. Lehane est par ailleurs un scénariste courtisé (The Wire, Boardwalk Empire) qui travaille aussi pour le grand écran comme en témoigne The Drop. Il partage sa vie entre Boston, sa ville natale, et la Floride.


Quand vient la nuit - Dennis Lehane
French | 2014 | 188 Pages | ISBN: 2743629052 | PDF | 121 MB
Après Mystic River, Dennis Lehane revient à sa ville fétiche avec Quand vient la nuit. Une formidable histoire de crime, de rédemption et d'amour. Dans l'argot des bas-fonds de Boston, un "relais" est un bar où transite l'argent de la pègre. Bob Saginowski, barman renfermé et solitaire, se retrouve mêlé à un vol qui tourne mal dans le bar de son cousin Marv. Le voilà pris au piège d'une histoire dont les racines plongent dans le passé d'un quartier où chacun, famille, amis ou ennemis, cherche à survivre. Quel qu'en soit le prix.


Bernard Chochon, "Quand la nuit appelle l'aurore. Essai sur le bonheur"
Frémur | 2011 | ISBN: 2952525242 | French | EPUB | 180 pages | 3.38 MB
Le bonheur. Un mot souvent galvaudé, employé à temps et à contretemps, dans les circonstances les plus nobles comme les plus futiles. Un mot usé, un mot qui se traîne, depuis que l'homme est homme et qu'il ne cesse d'être hanté par la réalité qu'il recouvre. Un mot, pourtant, qui, aujourd'hui encore, n'a pas de synonyme, tant son contenu est bien spécifique et sa réalité multiforme. Le bonheur n'est pas le plaisir. Il n'est pas la joie. Il est la paix du coeur.
Il est frappant de voir que notre époque, pourtant si matérialiste à bien des égards et si gourmande, en apparence, d'immédiateté, manifeste un intérêt accru pour le bonheur. Dans la rubrique prêt-à-penser, guides et recettes se bousculent parfois sur les étals des libraires, laissant penser que le bonheur pourrait s'atteindre à coup de maximes ou d'aphorismes. Illusion, bien sûr. Le bonheur ne se vend pas. Il ne s'achète pas. Il se vit. Plante rare - et donc fragile - , il ne vit et prospère que sur le terreau de la beauté, de la bonté, de la vérité.
Ainsi se dessine une véritable anthropologie du bonheur, fondée sur la volonté humaine. Le bonheur se mérite et se conquiert. L'homme n'est pas voué, une fois pour toutes, à la souffrance et à l'épreuve. Par un effort de sa volonté, ses limites, loin de l'emmurer, peuvent être salvatrices.
Le mur du repli sur soi devient alors brèche et réceptacle de lumière. L'expérience le montre : la vie de l'homme n'est pas impasse mais chemin. Chemin rugueux sans doute, chemin sinueux, mais chemin exaltant vers les cimes toujours vierges du dépassement de soi. Plus qu'un chemin, le bonheur est un cheminement sans fin.

Le bonheur. Un mot souvent galvaudé, employé à temps et à contretemps, dans les circonstances les plus nobles comme les plus futiles. Un mot usé, un mot qui se traîne, depuis que l'homme est homme et qu'il ne cesse d'être hanté par la réalité qu'il recouvre. Un mot, pourtant, qui, aujourd'hui encore, n'a pas de synonyme, tant son contenu est bien spécifique et sa réalité multiforme. Le bonheur n'est pas le plaisir. Il n'est pas la joie. Il est la paix du coeur.
Il est frappant de voir que notre époque, pourtant si matérialiste à bien des égards et si gourmande, en apparence, d'immédiateté, manifeste un intérêt accru pour le bonheur. Dans la rubrique prêt-à-penser, guides et recettes se bousculent parfois sur les étals des libraires, laissant penser que le bonheur pourrait s'atteindre à coup de maximes ou d'aphorismes. Illusion, bien sûr. Le bonheur ne se vend pas. Il ne s'achète pas. Il se vit. Plante rare - et donc fragile - , il ne vit et prospère que sur le terreau de la beauté, de la bonté, de la vérité.
Ainsi se dessine une véritable anthropologie du bonheur, fondée sur la volonté humaine. Le bonheur se mérite et se conquiert. L'homme n'est pas voué, une fois pour toutes, à la souffrance et à l'épreuve. Par un effort de sa volonté, ses limites, loin de l'emmurer, peuvent être salvatrices.
Le mur du repli sur soi devient alors brèche et réceptacle de lumière. L'expérience le montre : la vie de l'homme n'est pas impasse mais chemin. Chemin rugueux sans doute, chemin sinueux, mais chemin exaltant vers les cimes toujours vierges du dépassement de soi. Plus qu'un chemin, le bonheur est un cheminement sans fin.
Bernard Chochon est professeur honoraire de littérature française à l'Université catholique de l'Ouest (Angers). Spécialiste de l'oeuvre de François Mauriac auquel il a consacré plusieurs ouvrages, il se montre également attentif aux questions touchant le symbolisme et manifeste un intérêt particulier pour l'univers de Francis Jammes, de Jean Giraudoux et de Julien Gracq.

Le bonheur. Un mot souvent galvaudé, employé à temps et à contretemps, dans les circonstances les plus nobles comme les plus futiles. Un mot usé, un mot qui se traîne, depuis que l'homme est homme et qu'il ne cesse d'être hanté par la réalité qu'il recouvre. Un mot, pourtant, qui, aujourd'hui encore, n'a pas de synonyme, tant son contenu est bien spécifique et sa réalité multiforme. Le bonheur n'est pas le plaisir. Il n'est pas la joie. Il est la paix du coeur.
Il est frappant de voir que notre époque, pourtant si matérialiste à bien des égards et si gourmande, en apparence, d'immédiateté, manifeste un intérêt accru pour le bonheur. Dans la rubrique prêt-à-penser, guides et recettes se bousculent parfois sur les étals des libraires, laissant penser que le bonheur pourrait s'atteindre à coup de maximes ou d'aphorismes. Illusion, bien sûr. Le bonheur ne se vend pas. Il ne s'achète pas. Il se vit. Plante rare - et donc fragile - , il ne vit et prospère que sur le terreau de la beauté, de la bonté, de la vérité.
Ainsi se dessine une véritable anthropologie du bonheur, fondée sur la volonté humaine. Le bonheur se mérite et se conquiert. L'homme n'est pas voué, une fois pour toutes, à la souffrance et à l'épreuve. Par un effort de sa volonté, ses limites, loin de l'emmurer, peuvent être salvatrices.
Le mur du repli sur soi devient alors brèche et réceptacle de lumière. L'expérience le montre : la vie de l'homme n'est pas impasse mais chemin. Chemin rugueux sans doute, chemin sinueux, mais chemin exaltant vers les cimes toujours vierges du dépassement de soi. Plus qu'un chemin, le bonheur est un cheminement sans fin.
Bernard Chochon est professeur honoraire de littérature française à l'Université catholique de l'Ouest (Angers). Spécialiste de l'oeuvre de François Mauriac auquel il a consacré plusieurs ouvrages, il se montre également attentif aux questions touchant le symbolisme et manifeste un intérêt particulier pour l'univers de Francis Jammes, de Jean Giraudoux et de Julien Gracq.
[center]

Le bonheur. Un mot souvent galvaudé, employé à temps et à contretemps, dans les circonstances les plus nobles comme les plus futiles. Un mot usé, un mot qui se traîne, depuis que l'homme est homme et qu'il ne cesse d'être hanté par la réalité qu'il recouvre. Un mot, pourtant, qui, aujourd'hui encore, n'a pas de synonyme, tant son contenu est bien spécifique et sa réalité multiforme. Le bonheur n'est pas le plaisir. Il n'est pas la joie. Il est la paix du coeur.
Il est frappant de voir que notre époque, pourtant si matérialiste à bien des égards et si gourmande, en apparence, d'immédiateté, manifeste un intérêt accru pour le bonheur. Dans la rubrique prêt-à-penser, guides et recettes se bousculent parfois sur les étals des libraires, laissant penser que le bonheur pourrait s'atteindre à coup de maximes ou d'aphorismes. Illusion, bien sûr. Le bonheur ne se vend pas. Il ne s'achète pas. Il se vit. Plante rare - et donc fragile - , il ne vit et prospère que sur le terreau de la beauté, de la bonté, de la vérité.
Ainsi se dessine une véritable anthropologie du bonheur, fondée sur la volonté humaine. Le bonheur se mérite et se conquiert. L'homme n'est pas voué, une fois pour toutes, à la souffrance et à l'épreuve. Par un effort de sa volonté, ses limites, loin de l'emmurer, peuvent être salvatrices.
Le mur du repli sur soi devient alors brèche et réceptacle de lumière. L'expérience le montre : la vie de l'homme n'est pas impasse mais chemin. Chemin rugueux sans doute, chemin sinueux, mais chemin exaltant vers les cimes toujours vierges du dépassement de soi. Plus qu'un chemin, le bonheur est un cheminement sans fin.
Bernard Chochon est professeur honoraire de littérature française à l'Université catholique de l'Ouest (Angers). Spécialiste de l'oeuvre de François Mauriac auquel il a consacré plusieurs ouvrages, il se montre également attentif aux questions touchant le symbolisme et manifeste un intérêt particulier pour l'univers de Francis Jammes, de Jean Giraudoux et de Julien Gracq.
[center]

Eric, adolescent de 13 ans, et ses amis Gilles, Dan et Sylvain s'aventurent dans une grotte à l'extérieur du village. C'est la troisième fois qu'ils y vont. Et ce n'est pas un hasard ! En effet, enfoui dans la terre humide de la grotte, il y a de l'argent en grosses coupures. Mais ce soir, Eric creuse plus profondément et c'est avec horreur qu'il trouve la main blanche et froide d'un cadavre. Les jours qui passent sont un enfer pour les garçons qui portent cet horrible secret. Mais à bout, Eric envoie un message de détresse à la police. L'inspecteur Koro est chargé de l'enquête...

"On m'a demandé un jour de définir ma douleur. Je sais dire ce que je ressens lorsque je m'enfonce une épine dans le pied, décrire l'échauffement d'une brûlure, parler des nœuds dans mon estomac quand j'ai trop mangé, de l'élancement lancinant d'une carie, mais je suis incapable d'expliquer ce qui me ronge de l'intérieur et qui me fait mal au-delà de toute souffrance que je connais déjà. La dépression. Ma faiblesse. Le combat que je mène contre moi-même est sans fin, et personne n'est en mesure de m'aider. Dieu, la science, la médecine, même l'amour des miens a échoué. Ils m'ont perdue. Sans doute depuis le début.
J'ai vingt-neuf ans, je m'appelle Camille, je suis franco-belge, et je vais mourir dans trois mois. Le 6 avril 2016. Par euthanasie volontaire assistée."
[center]
"Après le cou, ce qui l'émouvait le plus chez une femme, c'était le poignet, alors il se pencha vers la femme inconnue, effleura ses veines qui ne battaient plus et lui fit la promesse muette que justice serait faite."
Il s'appelle Chrétien, pourtant il se dit "mécréant, tendance bouddhiste". Flic, fraîchement divorcé, il en est proie à une sorte de nervosité - il vient d'arrêter de fumer - mais pas seulement. Il pressent un malheur imminent qui ne tarde pas à survenir : neuf des plus belles statues de Notre-Dame de Paris sont décapitées ; puis, très vite, une jeune femme. La première d'une longue série...
L'enquête que mène le commissaire Bompard l'amène au sentiment qu'il est intimement mêlé à cette affaire. De quelle manière ? Ses doutes se confirment quand le meurtrier le menace dans ce qu'il a de plus cher : son ex, Mathilde.
Cette enquête est époustouflante : le lecteur tombe sous le charme du commissaire et dans les mailles d'une intrigue qui le tient en haleine jusqu'au dénouement de ce polar psychologique, dense et attachant. Un grand moment de plaisir/center]

"Après le cou, ce qui l'émouvait le plus chez une femme, c'était le poignet, alors il se pencha vers la femme inconnue, effleura ses veines qui ne battaient plus et lui fit la promesse muette que justice serait faite."
Il s'appelle Chrétien, pourtant il se dit "mécréant, tendance bouddhiste". Flic, fraîchement divorcé, il en est proie à une sorte de nervosité - il vient d'arrêter de fumer - mais pas seulement. Il pressent un malheur imminent qui ne tarde pas à survenir : neuf des plus belles statues de Notre-Dame de Paris sont décapitées ; puis, très vite, une jeune femme. La première d'une longue série...
L'enquête que mène le commissaire Bompard l'amène au sentiment qu'il est intimement mêlé à cette affaire. De quelle manière ? Ses doutes se confirment quand le meurtrier le menace dans ce qu'il a de plus cher : son ex, Mathilde.
Cette enquête est époustouflante : le lecteur tombe sous le charme du commissaire et dans les mailles d'une intrigue qui le tient en haleine jusqu'au dénouement de ce polar psychologique, dense et attachant. Un grand moment de plaisir/center]