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Rapport Sur Les Aveugles




Rapport Sur Les Aveugles
French | CBR | 65 pages | 132 MB

Quel rapport entre un investisseur français respectable, un puissant trafiquant de drogue de niveau international et un psychopathe sanguinaire? Et s'il s'agissait d'une seule et même personne? Alexandre Saint-Germain est bien cet ange du mal que traque inlassablement John Stafanovitch, lieutenant de la police de New York. Tout comme Isiah Parker, un inspecteur de la brigade des stups. Il est hanté par des motivations d'ordre personnel : tous deux ont eu un de leurs proches assassiné par Saint-Germain... Et ce n'est pas fini. Embuscades mortelles, représailles implacables, méthodes peu orthodoxes, rien n'est épargné aux uns comme aux autres.

En un Iran monarchique, dans une ville introuvable sur la carte, inconnue des plans routiers, isolée et tenue secrète, une fille pas comme les autres voit le jour et se met très vite à développer des dons étranges. Obsédante, inquiétante, elle prend facilement possession de quiconque pose les yeux sur elle. Certains se figurent qu'ils peuvent la dresser. D'autres préféreraient la supprimer. Mais quelques âmes bienveillantes sont prêtes à lui offrir un toit sous lequel se cacher? La peinture de l'âme, de la complexité des rapports humains, l'amour, la trahison, tels sont les enjeux de ce roman qui ne manque jamais de suspens et de rebondissements. Le récit fictif d'une... ? Pour ... ? à la manière des... ? c'est à dire les... ?

Les rêves peuvent-ils être prémonitoires ? Le sommeil guérit-il la maladie de Parkinson ? De quoi sont faits les rêves des aveugles ? Longtemps, le monde des rêves a appartenu aux religieux, aux artistes, aux psychanalystes et à tous ceux qui voulaient y découvrir un sens caché. Pourtant, il existe une approche scientifique des rêves : on peut désormais savoir si hommes et femmes rêvent des mêmes choses, si nous volons tous en rêve ou si nous rêvons tant que cela de sexe. L'étude des rêves permet également de mieux comprendre les maladies du sommeil : hallucinations, somnambulisme, terreurs nocturnes, narcolepsie et trouble comportemental en sommeil paradoxal. Voir un dormeur combattre des lions dans son lit ou fumer une cigarette fictive, découvrir qu'un homme à demi infirme redevient valide lorsqu'il rêve permettent d'en savoir un peu plus sur cette curieuse machinerie qui fait de nous, chaque nuit, la marionnette de notre cerveau. Entre ses expéditions chez les moines contemplatifs qui rêvent du diable, ses patients qui dévorent, endormis, des sandwichs au tabac et ses expériences au laboratoire du sommeil, Isabelle Arnulf ouvre une fenêtre fascinante sur ce nouveau théâtre de la nuit. Le professeur Isabelle Arnulf est neurologue, directrice de l'unité des pathologies du sommeil de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris.

Paru en 1879 sous le titre On Socialism, ce bref texte de John Stuart Mill (1806-1873), inédit en français, est issu de notes rédigées à la fin de sa vie en vue d'un futur livre sur son rapport au socialisme naissant qui l'attire tout en suscitant ses réserves.
Attentif au sort des « classes laborieuses » depuis la révolution de 1848 et s'aidant de sa méticuleuse lecture de Louis Blanc, Mill exprime sa sympathie pour un « socialisme tempéré », non autoritaire et décentralisé - et plaide pour le développement d'une économie coopérative, autogérée mais ouverte à la libre concurrence ou à l'association égalitaire entre entrepreneurs et salariés.
Devenu adepte d'un « libéralisme progressiste », le grand penseur libéral demeure très méfiant envers l'État et continue à placer au-dessus de tout la liberté des individus. Aussi apparaît-il dans ces pages comme le préfigurateur de ce qu'on nomme le « social-libéralisme ». D'où le double intérêt de Sur le socialisme : pour l'histoire des idées, et la compréhension des débats qui font notre actualité.

Une fenêtre sur les rêves: Neuropathologie et pathologies du sommeil

Les rêves peuvent-ils être prémonitoires ? Le sommeil guérit-il la maladie de Parkinson ? De quoi sont faits les rêves des aveugles ? Longtemps, le monde des rêves a appartenu aux religieux, aux artistes, aux psychanalystes et à tous ceux qui voulaient y découvrir un sens caché. Pourtant, il existe une approche scientifique des rêves : on peut désormais savoir si hommes et femmes rêvent des mêmes choses, si nous volons tous en rêve ou si nous rêvons tant que cela de sexe. L'étude des rêves permet également de mieux comprendre les maladies du sommeil : hallucinations, somnambulisme, terreurs nocturnes, narcolepsie et trouble comportemental en sommeil paradoxal. Voir un dormeur combattre des lions dans son lit ou fumer une cigarette fictive, découvrir qu'un homme à demi infirme redevient valide lorsqu'il rêve permettent d'en savoir un peu plus sur cette curieuse machinerie qui fait de nous, chaque nuit, la marionnette de notre cerveau. Entre ses expéditions chez les moines contemplatifs qui rêvent du diable, ses patients qui dévorent, endormis, des sandwichs au tabac et ses expériences au laboratoire du sommeil, Isabelle Arnulf ouvre une fenêtre fascinante sur ce nouveau théâtre de la nuit. Le professeur Isabelle Arnulf est neurologue, directrice de l'unité des pathologies du sommeil de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris.

Quand Varg Veum, le célèbre privé norvégien, reçoit son propre avis de décès par courrier, il croit à une plaisanterie macabre. Aucun rapport avec la mort d'un juge vêtu de sous-vêtements féminins. Rien à voir non plus avec la disparition de la jeune Torilde Skagestol... Ancien travailleur social, Varg Veum a beau connaître les turpitudes de son pays, il est une fois de plus horrifié de la façon dont la Norvège traite ses enfants.

"Je suivis ses instructions comme une gamine. Je me regardai dans le miroir. Elle semblait ne plus être là, la petite fille d'autrefois. Je découvris que j'étais grande. Je dépassais Sétareh, qui s'était introduite dans le miroir comme dans ma vie, d'un cou et d'une tête. Mince comme un crayon, j'avais l'air d'un trait sur une page vide. Ma peau blanche, à l'abri du soleil, avait peu vieilli. En marge du temps, mon corps n'avait pas pris de pli. La robe bleue, parfaite grâce à un repassage minutieux, enserrait mes formes, les épousait, m'intimidait. Mon cou était libre. Mes épaules cachées et mes bras à l'air. Une douce brise, s'insinuant par la fenêtre, dansait autour de moi et me caressait la chair. D'un teint lumineux, ma peau subjuguait le regard. Éblouissant, mon visage était pareil à celui d'un soldat vainqueur, regardant le ciel à l'issue d'une longue bataille. J'avais la sensation d'une fatigue relaxante. Mes yeux, je les regardais et me souvenais de ma mère. Je la retrouvais en moi. Où était-elle ? Si j'allais la voir ? Je souris à cette idée, mais elle ne provoqua pas l'étincelle attendue. D'un bleu plus sombre qu'autrefois, mon regard avait une certaine austérité. Mes cheveux longs, roux, blancs par endroits, en ligne droite, dépassaient mes épaules. Parfois elle disait qu'il fallait les couper, elle prenait un ciseau et en coupait quelques centimètres. C'était la première fois que je m'en rendais compte, je voulais le lui dire comme pour la remercier. Je voulais lui dire que j'étais reconnaissante. Mais je ne réussis pas, j'eus la gorge serrée. Le coup franc de la liberté me sortait de l'ombre avec une certaine brutalité, cette liberté-là me ranimait différemment. Je sentais mon corps après tant de temps, je m'admirais comme jamais, je voulais embrasser Sétareh pour la remercier d'avoir pris soin de moi. Quelle étrange sensation de beauté ! Je débordais de vie. La liberté était magnifique. Ou était-elle violente ?"

En un Iran monarchique, dans une ville introuvable sur la carte, inconnue des plans routiers, isolée et tenue secrète, une fille pas comme les autres voit le jour et se met très vite à développer des dons étranges. Obsédante, inquiétante, elle prend facilement possession de quiconque pose les yeux sur elle. Certains se figurent qu'ils peuvent la dresser. D'autres préféreraient la supprimer. Mais quelques âmes bienveillantes sont prêtes à lui offrir un toit sous lequel se cacher? La peinture de l'âme, de la complexité des rapports humains, l'amour, la trahison, tels sont les enjeux de ce roman qui ne manque jamais de suspens et de rebondissements. Le récit fictif d'une... ? Pour ... ? à la manière des... ? c'est à dire les... ?

Quand Varg Veum, le célèbre privé norvégien, reçoit son propre avis de décès par courrier, il croit à une plaisanterie macabre. Aucun rapport avec la mort d'un juge vêtu de sous-vêtements féminins. Rien à voir non plus avec la disparition de la jeune Torilde Skagestol... Ancien travailleur social, Varg Veum a beau connaître les turpitudes de son pays, il est une fois de plus horrifié de la façon dont la Norvège traite ses enfants.

Quel rapport entre un investisseur français respectable, un puissant trafiquant de drogue de niveau international et un psychopathe sanguinaire ? Et s’il s’agissait d’une seule et même personne ? Alexandre Saint-Germain est bien cet ange du mal que traque inlassablement John Stefanovitch, lieutenant de la police de New York. Tout comme Isiah Parker, un inspecteur de la Brigade des stups, il est hanté par des motivations d’ordre personnel : tous deux ont eu un de leurs proches assassiné par Saint-Germain… et ce n’est pas fini. Embuscades mortelles, représailles implacables, méthodes peu orthodoxes, rien n’est épargné aux uns comme aux autres. Un thriller frénétique que l’auteur considère comme l’un de ses romans préférés : » Je pense que, de tous mes livres, c’est celui qui ferait le meilleur film. »